Ciné porno

Le film est déjà commencé, une salle d’une cinquantaine de place dont seulement une dizaine sont occupés A priori il n’y a la que des hommes et de tous âges. Tous ont le regard figé sur l’écran où une femme est entrain de se faire entreprendre par deux garagistes qui semblent ne pas vouloir vérifier que le moteur de sa voiture. Il flotte dans l’atmosphère un mélange de sueurs, de parfum bon marché, de désodorisant et une note de sperme. L’ambiance tranche fortement avec ta tenue, petit tailleur gris, chemisier blanc assez ouvert pour que l’on devine la naissance de tes seins dont les pointes déforment le tissu léger, bas à couture glissés dans des escarpins griffés.     

Nous choisissons un rang au milieu de la salle. Je m’installe d’abord dans la rangée et tu me suis prestement.

Je commence à caresser ton genou remontant jusqu’à la racine de tes bas. Tu écartes les cuisses conformément à nos accords.

A présent à l’écran la femme est poussée au sol par un des deux hommes qui sort sa queue.

Dans la salle il commence à y avoir quelques mouvements. Un homme plus hardi que les autres se lève et vient s’asseoir prêt de toi. Tu veux fermé tes jambes mais d une pression de ma main tu comprends que tu ne dois pas le faire. Je regarde ton profil, tu es belle et dégluti lentement ta salive. L’homme me regarde recherchant mon accord pour profiter de cette femme perdu au milieu de ce monde masculin de sexe brut. Un léger hochement de tête de ma part et voila notre comparse qui vient frôler la cuisse restée libre. Ses mouvements sont plus nerveux que les miens, rapidement nous devinons sous les assauts de nos deux mains apparaître la chair de tes cuisses et le rouge de ton string. Je l’imagine peut être même déjà plus sombre à l’endroit ou tes sécrétions viennent l’humidifier. Ta respiration soulève avec plus d’amplitude ta poitrine mais impassible de l’extérieur tu gardes le regard figé sur cette femme à l’écran avec ses deux hommes aux mains sales qui ont entrepris d’arracher plus que d’enlever ses vêtements. Elle crie, se débat ce qui a pour objet de la dévêtir encore plus vite.   Je te demande de sortir mon sexe à présent très à l’étroit de mon pantalon. En bonne soumise et non sans quelques difficultés mais surtout resté pour ce membre chéri tu réussi à l’extraire. Tu commence a me masturber lentement faisant bien coulisser ta main fine tout le long de mon membre. Notre voisin ne tarde pas à sortir sa queue et à prendre ta main pour la plaquer dessus sa virilité. Tu continus à regarder le film avec ces deux sexes que tu caresses sensuellement et ces deux mains qui a présent ont trouvé, l’entrée de ta grotte et la proéminence de ton clito. A l’écran la femme est prise par les cheveux par l’un des hommes qui l’oblige à avaler jusqu’à la nausée le sexe de son collaborateur. Elle crache, hoquette, absorbe, renâcle, de longs filets de salive s’écoule de sa bouche meurtrie par les va et vient qui lui sont imposés. Je suis certain qu’à cet instant tu aimerais être à la place de cette femme.

J’aperçois à présent deux mains venues de derrière qui viennent caresser ta nuque, ton cou. Puis rapidement, descendent vers ta poitrine. Ce n’est pas de la caresse cette fois. Elles empoignent tes seins, les malaxent, les pétrissent au travers du fin tissu. L’homme sans visage laisse échapper un « quelle bonne petite salope que celle là ! Pire que la bourgeoise du film». Cette dernière suce à présent en alternance les deux acolytes qui lui pétrissent aussi les seins. Des seins à la peau claire qui au fur et à mesure des contacts se couvrent de traînées de cambouis.

Qui sera la plus salope Mathilde,  toi ou l’actrice qui se démène  sur pellicule ?

La suite ?