Lundi 18 juillet 1 18 /07 /Juil 16:41

vous pourrez suivre sur ce blog sa progression. Son époux serge souhaite en faire une PUTE VIDE COUILLES courant novembre. Il va fallloir la dresser trés vite....CIMG1117.JPG 

Par Maître Gilles
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Jeudi 14 juillet 4 14 /07 /Juil 18:27

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Par Maître Gilles
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Jeudi 14 juillet 4 14 /07 /Juil 18:25

Je vais peut être bientôt à avoir a faire progresser une soumise. Vous pourrez suivre sa progression sur ce site. M Gilles de Dijon CIMG0998.JPG

Par Maître Gilles
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 00:37

L’essayage

 

Aujourd’hui sera pour toi Soumise Mathilde une nouvelle expérience. Tu n’en sais rien ce qui rend la chose encore plus excitante. Je t’ai proposé de faire les boutiques dijonnaises. Ce que tu as accepté sans hésitation car tu aimes passé du temps au bras de ton maître. Mais ce que tu ne sais pas c’est que l’un des boutiquiers et un amis libertin et nous avons échafaudé ensemble un plan dont tu risques de te souvenir.

 

Nous entrons dans sa boutique après avoir longuement flâné. Quelques modèles attirent ton œil en particulier ceux à talons hauts. Nous entrons et sommes reçu par cet homme d’une quarantaine d’années au physique agréable. Tu sélectionnes plusieurs modèles, et il t’invite à passer dans la pièce adjacente pour les essayer.  Tes jambes sont gainé de bas attachés à un porte jartelles violet , tu porte un bustier léger qui laisse apercevoir la dentelle de ton soutien gorges.

Tu enfiles la première paire. Je suis assis en face de toi de profil par apport au miroir. Je fais celui qui ne vois pas que l’homme s’attarde sur tes chevilles et remonte lentement une de ses mains le long de tes mollets. La caresse est fugace et tu ne sais pas trop quoi en penser. Puis tu enfiles une seconde paire (des escarpins rouge sang aux talons vertigineux). Tu restes debout pour ce nouvel essai. Cette fois ci tu n’as plus de doute cet homme qui complimente ton maître sur la finesse des jambes de sa femme te caresse. Sa main à présent remonte vers tes cuisses et tu as un mouvement pour rabattre ta jupe ce d’autant qu’un autre homme vient de rentrer dans la pièce. En costume, il dit bonjour et fait mine de chercher un modèle à sa convenance. Mais visiblement il a déjà remarqué les mains de mon ami qui caresse tes jambes de façon légère mais évidente. Je lui réponds que je suis en effet très satisfait de la plastique de ma femme et que tu adore les essayages. La troisième paire de chaussures n’est pas de mon goût et je demande à l’autre homme de me donner son avis. Il me dit il faudrait la voir marcher avec ! évidemment il faut te voir bouger avec. Je te demande alors de faire quelques pas de tourner sur toi même, puis de t’asseoir et enfin de lentement croiser et décroiser tes jambes ce qui a pour effet de laisser apercevoir un bout de l’étoffe de ton string. Ils t’aident à te relever pour enfiler une paire de cuissardes en cuir que tu n’avais pas sélectionné mais qui plaisent visiblement à ses messieurs. Tu me regardes… je laisse faire. Te voilà botté de cuir jusqu’au dessus du genou. Un autre homme vient de rentrer. Il demande s’il peut rester ce à quoi je réponds bien sur. Tout le monde est là pour essayer. Le plus grand des hommes qui prend du recul trouve que ces bottes ne vont pas avec ta jupe. Alors deux des compères entreprennent de lentement remonté le tissu jusqu’à ce qu’apparaisse la peau de tes cuisses. L’un d’eux à refermé une main sur ta fesse droite prend visiblement beaucoup de plaisir à ce contact. Tu as l’air d’un petit moineau tombé du nid, tes bras le long du corps essayant doucement de repousser les mains qui se font plus inquisitrices. Je devine même que parfois elle écarte le tissu et cherche ta fente, probablement déjà détrempée. Cela semble exciter encore plus les males présent. Je constate que l’un d’eux frotte la proéminence que fait son sexe sous le tissu de son pantalon au dos de ta main. Je te demande d’un air détaché ce que tu en penses. Tu bredouilles « quoi les bottes ? elles sont bien ! ». je te demande si tu veux en essayer plus d’un voix blanche tu dis « je ne sais pas trop là tout de suite ». Tu ne sais pas que nous sommes entré peu avant la fermeture habituelle du magasin, que sa devanture est fermé et que tous les hommes présent sont complices. L’homme qui se tenait un peu en retrait demande s’il peu essayé aussi. Je lui dit « oui pas de problème, elle est faite pour être essayé ». Tu comprends alors que tu n’as pas d’autre échappatoire que la soumission. L’homme te fait face, prestement il dégrafe sa braguette et sort une belle verge tendue. Les homme qui t’encadrent appui fermement sur tes épaules. Tu tombes à genou face à ce sexe. Patrick me demande alors « : comment s’appelle cette belle Bourgeoise ? ». Je réponds « Mathilde et c’est une bourgeoise qui aime vider les couilles ». « C’est ce que nous allons voir » dit il tout en s’approchant de tes lèvres carminées. Sans hésité car probablement très excitée tu ouvres en grand la bouche et avale littéralement son sexe. Je te reconnais là, toujours prête à satisfaire ton maître et ses amis. Tu entreprends une pipe des plus vigoureuse et la verge vient parfois jusqu’à disparaître totalement au fond de ton gosier. Les deux autres hommes ont saisi tes mains qu’ils ont posé sur leur sexe tout aussi tendu que celui que tu as en bouche. Je t’admire ma belle Mathilde. Une bite dans chaque main et une troisième qui explore tes amygdales. Les mains des hommes ne restent pas inactives et te voilà bientôt les seins à l’air, tétons pincés et les fesses non moins exposées aux doigts fureteurs. Je me joins au trio masculin, huit main parcours ton corps, quatre bites palpitent devant toi. Assez vite tu te trouves en levrette chevauchant Patrick qui pousse sa queue le plus loin qu’il peut au fond de ton vagin, a présent tu suces Marc et Dominique avec visiblement délectation alternant les queues dans ta bouche. Je me déshabille entièrement puis m’étant assuré d’un doigt puis deux de la souplesse de ta rosette épilée, je plante mon membre dans ton cul. Te voilà prise de toute part. et tu sembles aimer cela. Pendant plus d’une heure nous allons alterner nos positions dans tes orifices. Tu auras même droit à un essai de double vaginale de Patrick et Dominique mais pour cette fois sans succès ; Au moment où Patrick nous fait part du fait qu’il va exploser. Tu t’exclame « attendez, je veux vos liqueurs sur mon visage et dans ma bouche. Tu as juste le temps de finir ta phrase avant de recevoir le premier jet crémeux de Patrick dans le cou. Tu ajustes ton visage afin de recevoir le second sur la joue droite puis tu gobes son gland et semble doucement l’aspirer.  Je t’interdit d’avaler ! Mais te demande une fois que tu as laissé le sexe en cours de détumescence quitter ta bouche de recracher très lentement ce sperme de ta bouche le faisant ainsi rouler sur tes lèvres, ton menton puis ton cou et ta poitrine. Moi et les deux autre hommes nous approchons à notre tour de ton visage rayonnant de bonheur. Ton sourire est vite barré par une grosse décharge de Dominique suivie de quelques autres moins importante qui se perdent sur ton menton et ta joue gauche. Ton maître joui de concert avec Marc et cette fois tout ton visage est baigné de sperme. Ta bouche ouverte essai dans attraper le maximum mais tu as ordre de recracher au fur et à mesure de façon à que toute ta poitrine soit recouverte du liquide nourricier. Nous reculons alors et je te demande de te masturber devant nous. Je prends plusieurs clichés de cette femme que tu es lorsque tu viens vivre des instants interdits avec ton maître. Une femme sans préjugée, sans tabou, sans barrière, une femme avide de plaisir et de soumission. Tu es encore plus belle ce sperme sur ton visage qui descend lentement jusqu’à ton ventre, puis ton pubis et ton sexe. Au bout de quelques minutes, le liquide a atteint ton intimité et tu te masturbes avec nos spermes mêlés. Le clapotis est obscène et je crois que c’est ce qui te fait jouir plus vite qu’à l’accoutumé.

 

Maître G

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
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Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 01:12

Copie de DSC 0006L’homme en face de toi est monstrueux, il doit mesurer presque 2 m et peser environ 140 kg Sa musculature est saillante, puissante, bestiale. Tu es là ma Soumise Mathilde, nue, frêle, presque fragile en face de lui. Tu ne portes que ton collier et sa laisse qui oscille entre tes seins. Tu n’as pourtant pas l’air effrayé, ton maître est là pour t’observer et te protéger.

 

Il fait à présent le tour de la pièce. Une pièce d’un donjon sans fenêtre, juste la porte et l’escalier par lequel tu viens d’arriver. Pas de chaise mais une simple commode et un matelas jeté par terre. Toi tu es à même le sol. Il saisi ta laisse et la tire vers le haut. Aussitôt tu te retrouves à genou. Les fesses posées sur tes pieds. La « bête » te fait face. Tu attends regard baissé.  Il prend tes cheveux dans ses mains et tire ta tête vers le haut, il renifle ton odeur y recherchant une peur quelconque mais tu restes impassible et retombes sur tes jambes une fois qu il te lâche.

 

C’est le jardinier du château et il sait que pendant une heure il t’a à sa complète disposition. Tu ne dois rien lui refuser et tu l’as accepté.  Visiblement il ne souhaite pas disposer de toi pour l’aider à tailler les rosiers. Il te fait face à nouveau et plus qu’il ne te le demande il grogne que tu viennes le sucer. Tu t’avances alors à genou vers son bleu de travail. Tu d’empêtres dans sa ceinture sa braguette et ton doigt tremblant ne parviennent pas à faire sortir le chibre. Il te repousse alors violemment d’un revers de main. Tu roules sur le sol jambe largement ouverte. La vision semble booster notre gaillard qui descend son pantalon qu’il porte sans culotte. Je vois tes yeux s’agrandir et je comprends  pourquoi lorsque l homme avance dans la clarté. Son sexe est à son image monstrueux. Le gland est effilé et s’élargi rapidement en corolle comme la tête d’un cèpe. Et il est fiché sur un membre massif certainement plus épais que ton poignet. Il est parcouru de grosse veine pourpre qu’ils me semblent voir battre. Cette fois je devine de l’inquiétude sur ton visage. Il te soulève par l’épaule et te cri « bouffe moi femelle ! ». Ton visage n’est plus qu’à qq cm de cet obélisque de chair. Ta main qui l’empoigne semble menue et ne parvient pas à en faire le tour. Tu sembles tétanisé. Il hurle cette fois « tu vas me bouffer sale chienne ? ». Alors je devine la pointe de ta langue qui sort et vient se poser sur le somment du gland. J’imagine l’odeur acre de ce sexe qui envahi tes narines et bientôt ta bouche. Ta langue glisse sur toute la surface du gland qui se met à luire. Tu le masturbe à présent à deux mains de façon vigoureuse dans l’espoir qui semble vain de le faire jouir au plus vite. Ta langue humidifie à présent la hampe. Le sexe tendu palpite contre ta joue. L’homme t’arrête alors, te prends la tête à deux mains et présente son gland à tes lèvres. Tu n’as d’autres choix que t’ouvrir ces dernières. Peu à peu ta bouche se déforme sous la poussée et tu absorbes ce gland cramoisi.  Il n’en rentrera pas plus mais l’homme semble satisfait et te baise à présent la bouche. De la salive coule sur ton menton puis sur tes seins. Après quelques minutes de baise buccale l’homme sort son membre de sa bouche. Il a encore pris du volume sous ta caresse. Il te soulève du sol, te plaque contre lui. Son sexe palpite entre tes cuisses ouvertes de part et d’autre de ses flancs. Puis il applique la tête de son sexe contre ta vulve détrempé malgré tout car tu es vraiment une belle chienne. Puis il te relâche peu à peu et ce membre t’empale plus qu’il ne te pénètre. Mais sa progression se fait sans accoup presque en douceur. Tu laisse tomber ta tête sur le torse du monstre et un long gémissement s’échappe de ta gorge. Jamais tu n’avais été empli ainsi.  Puis il entame une danse de l’amour avec toi fiché sur ce pieu qui t’ouvre. Il se promène dans la pièce avec ton corps emmanché. Te faisant monter et descendre sur ce pieu au rythme de ses hanches et de son désir de te baiser. Puis il te dépose à plat ventre sur un tonneau. Son sexe dressé contre son abdomen est luisant de tes secrétions. Il prend sa ceinture et commence alors à te fouetter les fesses. Tu tréssautes à chaque coup mais semble tendre ton cul vers le cuir. Oui c’est à peine perceptible mais tu ondules offrant t a croupe à ton bourreau. Tu frotte ton clitoris contre le bois du tonneau pour encore plus de plaisir. Et sur un coup plus prononcé que les autres tu laisses échapper le feulement de ta jouissance mordant le dos de ta main. Tu es là obscène et pantelante lorsque « la bête » qui n’a rien perdu de sa vigueur se rapproche de toi. Il écarte alors tes fesses et crache sur ton anus. Tu n’as plus assez de force pour te plaindre d’une telle atteinte à ta dignité. Ton anus en corolle baigne dans ton jus et la salive de l’ogre des Ardennes. J’assiste alors à une chose incroyable ton anus si délicat vient épouser le gland du monstre. Et tu lui dis alors quelques chose dont je t’aurai jamais cru capable «  Salaud elle te fait bander la femme du monde alors encule-la ! Je suis une traînée, je suis soumise Mathilde et je veux que tu me défonce le cul de ta grosse bite ! » Ta parole est coupée par un han de bûcheron et un cri rauque de bête aux abois. La moitié de sa verge vient de s’enfoncer en toi. Plus un pli sur ton anus. Il n’est que chair distendue. Puis l homme devient comme fou et se met à pilonner ton cul de coups de rein violents. Je me rapproche pour mieux voir. A présent tu as absorbé tout le membre et les couilles elles aussi énormes frappent tes fesses rougies par la ceinture. Cela dure t’interminables minutes où ton corps est ballotté par les coups de queue. Puis l’homme se raidi et pousse un hurlement inhumain. Il jouit comme un ours dans tes entrailles en feu. Puis sort son vit de ton cul qui reste ouvert laissant échappé des flots de sperme qui coulent sur tes cuisses. L’homme fait alors le tour du tonneau t’attrape par les cheveux et enfourne son sexe gluant dans ta bouche. « nettoie ma salope, j’ai du travail qui m’attends ! ». En parfaite soumise tu rends le sexe luisant comme un sou neuf.  Il part après avoir remis son pantalon de travail et tu viens te réfugier dans mes bras pour que je te câline. Ma soumise Mathilde a été une fois de plus parfaite.

 

Maître G

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
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