Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 01:12

Copie de DSC 0006L’homme en face de toi est monstrueux, il doit mesurer presque 2 m et peser environ 140 kg Sa musculature est saillante, puissante, bestiale. Tu es là ma Soumise Mathilde, nue, frêle, presque fragile en face de lui. Tu ne portes que ton collier et sa laisse qui oscille entre tes seins. Tu n’as pourtant pas l’air effrayé, ton maître est là pour t’observer et te protéger.

 

Il fait à présent le tour de la pièce. Une pièce d’un donjon sans fenêtre, juste la porte et l’escalier par lequel tu viens d’arriver. Pas de chaise mais une simple commode et un matelas jeté par terre. Toi tu es à même le sol. Il saisi ta laisse et la tire vers le haut. Aussitôt tu te retrouves à genou. Les fesses posées sur tes pieds. La « bête » te fait face. Tu attends regard baissé.  Il prend tes cheveux dans ses mains et tire ta tête vers le haut, il renifle ton odeur y recherchant une peur quelconque mais tu restes impassible et retombes sur tes jambes une fois qu il te lâche.

 

C’est le jardinier du château et il sait que pendant une heure il t’a à sa complète disposition. Tu ne dois rien lui refuser et tu l’as accepté.  Visiblement il ne souhaite pas disposer de toi pour l’aider à tailler les rosiers. Il te fait face à nouveau et plus qu’il ne te le demande il grogne que tu viennes le sucer. Tu t’avances alors à genou vers son bleu de travail. Tu d’empêtres dans sa ceinture sa braguette et ton doigt tremblant ne parviennent pas à faire sortir le chibre. Il te repousse alors violemment d’un revers de main. Tu roules sur le sol jambe largement ouverte. La vision semble booster notre gaillard qui descend son pantalon qu’il porte sans culotte. Je vois tes yeux s’agrandir et je comprends  pourquoi lorsque l homme avance dans la clarté. Son sexe est à son image monstrueux. Le gland est effilé et s’élargi rapidement en corolle comme la tête d’un cèpe. Et il est fiché sur un membre massif certainement plus épais que ton poignet. Il est parcouru de grosse veine pourpre qu’ils me semblent voir battre. Cette fois je devine de l’inquiétude sur ton visage. Il te soulève par l’épaule et te cri « bouffe moi femelle ! ». Ton visage n’est plus qu’à qq cm de cet obélisque de chair. Ta main qui l’empoigne semble menue et ne parvient pas à en faire le tour. Tu sembles tétanisé. Il hurle cette fois « tu vas me bouffer sale chienne ? ». Alors je devine la pointe de ta langue qui sort et vient se poser sur le somment du gland. J’imagine l’odeur acre de ce sexe qui envahi tes narines et bientôt ta bouche. Ta langue glisse sur toute la surface du gland qui se met à luire. Tu le masturbe à présent à deux mains de façon vigoureuse dans l’espoir qui semble vain de le faire jouir au plus vite. Ta langue humidifie à présent la hampe. Le sexe tendu palpite contre ta joue. L’homme t’arrête alors, te prends la tête à deux mains et présente son gland à tes lèvres. Tu n’as d’autres choix que t’ouvrir ces dernières. Peu à peu ta bouche se déforme sous la poussée et tu absorbes ce gland cramoisi.  Il n’en rentrera pas plus mais l’homme semble satisfait et te baise à présent la bouche. De la salive coule sur ton menton puis sur tes seins. Après quelques minutes de baise buccale l’homme sort son membre de sa bouche. Il a encore pris du volume sous ta caresse. Il te soulève du sol, te plaque contre lui. Son sexe palpite entre tes cuisses ouvertes de part et d’autre de ses flancs. Puis il applique la tête de son sexe contre ta vulve détrempé malgré tout car tu es vraiment une belle chienne. Puis il te relâche peu à peu et ce membre t’empale plus qu’il ne te pénètre. Mais sa progression se fait sans accoup presque en douceur. Tu laisse tomber ta tête sur le torse du monstre et un long gémissement s’échappe de ta gorge. Jamais tu n’avais été empli ainsi.  Puis il entame une danse de l’amour avec toi fiché sur ce pieu qui t’ouvre. Il se promène dans la pièce avec ton corps emmanché. Te faisant monter et descendre sur ce pieu au rythme de ses hanches et de son désir de te baiser. Puis il te dépose à plat ventre sur un tonneau. Son sexe dressé contre son abdomen est luisant de tes secrétions. Il prend sa ceinture et commence alors à te fouetter les fesses. Tu tréssautes à chaque coup mais semble tendre ton cul vers le cuir. Oui c’est à peine perceptible mais tu ondules offrant t a croupe à ton bourreau. Tu frotte ton clitoris contre le bois du tonneau pour encore plus de plaisir. Et sur un coup plus prononcé que les autres tu laisses échapper le feulement de ta jouissance mordant le dos de ta main. Tu es là obscène et pantelante lorsque « la bête » qui n’a rien perdu de sa vigueur se rapproche de toi. Il écarte alors tes fesses et crache sur ton anus. Tu n’as plus assez de force pour te plaindre d’une telle atteinte à ta dignité. Ton anus en corolle baigne dans ton jus et la salive de l’ogre des Ardennes. J’assiste alors à une chose incroyable ton anus si délicat vient épouser le gland du monstre. Et tu lui dis alors quelques chose dont je t’aurai jamais cru capable «  Salaud elle te fait bander la femme du monde alors encule-la ! Je suis une traînée, je suis soumise Mathilde et je veux que tu me défonce le cul de ta grosse bite ! » Ta parole est coupée par un han de bûcheron et un cri rauque de bête aux abois. La moitié de sa verge vient de s’enfoncer en toi. Plus un pli sur ton anus. Il n’est que chair distendue. Puis l homme devient comme fou et se met à pilonner ton cul de coups de rein violents. Je me rapproche pour mieux voir. A présent tu as absorbé tout le membre et les couilles elles aussi énormes frappent tes fesses rougies par la ceinture. Cela dure t’interminables minutes où ton corps est ballotté par les coups de queue. Puis l’homme se raidi et pousse un hurlement inhumain. Il jouit comme un ours dans tes entrailles en feu. Puis sort son vit de ton cul qui reste ouvert laissant échappé des flots de sperme qui coulent sur tes cuisses. L’homme fait alors le tour du tonneau t’attrape par les cheveux et enfourne son sexe gluant dans ta bouche. « nettoie ma salope, j’ai du travail qui m’attends ! ». En parfaite soumise tu rends le sexe luisant comme un sou neuf.  Il part après avoir remis son pantalon de travail et tu viens te réfugier dans mes bras pour que je te câline. Ma soumise Mathilde a été une fois de plus parfaite.

 

Maître G

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
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