Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 01:41

Suite par MG…

 

J’ai pris un peu de recul pour mieux t’observer en chienne lubrique qui a perdu tous ses codes et repères habituels. Tu ne veux qu’être une chienne offerte. J’imagine dans ta bouche le goût de ces spermes mêlés. Tu es assise sur tes jambes repliées. Ton chemisier est ouvert jusqu’à ta taille, ta jupe a elle aussi rejoint ta taille et ne reste qu’un lambeau de string qui te fait comme une jarretière écarlate à la cuisse gauche. En me rapprochant je distingue nettement de larges taches sombres sur le tissu gris de la veste de ton tailleur. Ces dernières répondent à celles plus claires qui constellent ton visage et ta poitrine. Je me rapproche plus et sort ma queue tendue à l’extrême par ce spectacle. Je me masturbe à mon tour sur ce visage de belle salope. Tu es ma soumise, ma Mathilde. Je cris salope prends en expulsant ma semence le premier jet frappe ton cou mais le second atteint tes lèvres que tu entrouvrent afin de boire le liquide chaud de ton maître. Tu déglutis lentement ce nectar masculin. Tu souri satisfaite du plaisir que tu viens de donner à ton maître en te laissant ainsi utiliser.

 

A peine rentré à la chambre d’hôtel et alors que tu souhaites prendre une douche pour retirer de ta peau le sperme séché. Je te permet de te dévêtir entièrement mais te demande alors de t’accroupir à quatre pattes. Puis sans quitter mon pantalon, je sorts ma queue déjà tendue par le spectacle que tu as offert et par celui que tu offres. Je te demande de cambrer et comme tu es un peu lente je me mets à te fesser. Tes chairs culières sont déjà rouges lorsque je plonge dans ton anus. Je fait coulisser d abord lentement puis de plus en lus vite mais toujours sur toute sa longueur la hampe de mon sexe dans ton boyau étroit. Tu gémis. Je t’oblige à me dire des choses ordurières qui te décrivent. « Oui Maître je suis votre chienne », « j’aime quand vous me prenez ainsi le cul », « Punissez moi Maître je ne suis pas encore assez Salope pour vous », « je ne suis qu’une pute soumise », « je suis votre pute soumise », « j’aime manger des queues et qu’elles dégorgent leur jus sur mon visage et dans ma bouche », « Baisez moi, enculez moi, je suis votre chose lubrique »…  Dans un râle je viens de remplir le cul de ma chienne Mathilde.

 

MG.
Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 01:07

 

Nous venons de prendre ensemble un repas dans un restaurant parisien. Nombreux furent nos échanges. Tu me plais et j’ai un désir profond de te séduire. De te donner cette confiance que toute soumise recherche chez son dom pour s’offrir et s’abandonner corps et âme.

 

Mais finalement sans réelle hésitation tu viens de mettre ta signature au bas de ce contrat qui nous lie. Toi comme Soumise et moi comme dominant. Nous avons scellé ce contrat par un très long baiser sensuel.

 

L’EXAMEN             

 

Voici notre première chambre. Simple, mais l’essentiel n’est pas là !

Je suppose que tu as une petite boule dans ta gorge. Nous avons peu parlé depuis la signature. Tu ôtes tes lunettes (si tu en portes ce soir là), et je te mets un bandeau sur les yeux et ton premier collier autour du cou. Tu es Soumise Mathilde de Maître Gilles. Je devine un frisson parcourir ta peau quand le cuir noir viens se plaquer sur ta peau.

 

Je t’assoies sur une chaise et commence à préparer la pièce afin de créer l’ambiance recherchée.  

 

Puis je te demande de te lever. Je prends ta chaise la pose à environ deux mètres de toi. Tu es face à moi attentive aux ordres de ton amant et maître. Je te demande alors de te déshabiller très lentement jusqu’à n’être plus qu’en sous vêtements. Peux à peux tu t’effeuille offrant pour la première fois à la vue de ton maître cette peau dont tu lui a déjà transmis de multiples clichés. Mais là il te vois bouger, il peut s’il le désir venir sentir sa chaleur, tester sa souplesse. Les commentaires que tu espères ne viennent pas. Un tourment de plus infligé par le maître. Et si je lui déplaisais ?  Tu es là debout en sous vêtements. Je te demande de lentement tourner sur toi-même. Je prends quelques clichés, souvenirs de nos premiers émois. Puis je te demande de retirer ton soutient gorges. Les pointes de tes seins sont tendues pourtant la pièce est bien chauffée. Enfin je te propose de te tourner et de faire très lentement faire glisser le long de tes hanches ton string. Peu à peu ton magnifique cul m’apparaît libre de toute entrave. Tu es nue pour la première fois devant ton maître.

 

Je te demande de pivoter lentement apparaît d’abord la courbe de tes sein, puis la naissance de ton mont de vénus et enfin la fente de ton sexe encadrer de deux lèvres écarlates libre de tout duvet. Comme convenu tu n’as gardé comme toute pilosité qu un léger triangle pubien. Je m’approche et viens poser mes doigts, mes paumes, mes mains sur ta peau. Caresses légères et douces qui te font frémir. J’explore ton corps, chaque centimètre carré de ce nouveau territoire qui est le mien. Je redessine la courbe d’une lombes de mon index, enferme le galbe d’une fesse dans ma main, soupèse un sein de ma paume, pince un mamelon pour en connaître l’élasticité et tes réactions…

 

Puis je te guide jusqu’au lit et d’allonge sur le dos. Des entraves sont passées à tes poignets et à tes chevilles.  Un coussin est glissé sous tes fesses, tes cuisses sont écartées. Je devine la moiteur de ton sexe qui s’entrouvre sous la manœuvre. Je vais t’explorer pour la première fois. Tu entends le froissement du papier qui protége mes gants chirurgicaux. Je prélève une grosse noisette de gel KY sur mes doigts. Je vais à présent décrire comme je le ferais avec une patiente chacune des étapes de ton examen. La vulve, les parois vaginales, le col de ton utérus, la position de ton utérus, sa taille. Puis après t’avoir prévenue, je glisse tout en gardant deux doigts dans ton vagin, un doigt dans ton rectum. J’apprécie la minceur et la souplesse de ta cloison recto vaginale puis examine tes paramètres, ses pseudo ligaments qui maintiennent ton utérus en place. Pour finir je balais de mon doigt toute la circonférence de ton rectum. Mais je constate qu’il devra être mieux préparer qu’il ne l’est. Puis je prends mon miroir de Clar et un spéculum à usage unique. En prenant soin d’éviter ton méat urinaire (très sensible), j’appui sur la fourchette vulvaire et glisse les lames jusqu’à ce qu’elles viennent buter sur ton cul de sac vaginal. Une fois en place je les écarte lentement et peux examiner ta grotte d’amour. Jugeant que je ne voit pas suffisamment bien du fait des replis de ta muqueuse je décide d’utiliser un spéculum à crémaillère. Il est en, métal ce qui te fait sursauter car le contact est glacé. Puis je l’ouvre progressivement. Ton vagin sous les effets conjoint de ton excitation et de l’examen qu’il subit apparaît à présent béant. J’en apprécie sa compliance  et la commente.

 

Je profite de ta position pour palper tes seins. Quadrant par quadrant, d’abord superficiellement puis en profondeur. J’en presse les mamelons afin de m’assurer qu’aucun liquide ne s’en écoule. Palpe tes aisselles, ton abdomen…

 

Je passe alors à l’examen en position genu pectorale, pour cela je te demande de te placer à 4 pattes, genoux légèrement écartés, tête reposant sur le drap. Je me recule pour admirer le spectacle de tes arrières ainsi offerts. Le galbe de tes fesses est parfait. En revanche je note quelques poils disgracieux qui ont échappés à ta vigilance au pourtour de ton anus et sur ton périné. Cela te vaudra une punition. Je t’en fait part et tu l’acceptes. Ton anus palpite devant mes yeux, ta chatte laisse échappé le fruit de ton plaisir à être ainsi exposé au maître.

Mon toucher de ton à l’heure m’a permis de voir que ton ampoule rectale comportait encore quelques occupant indésirable. Je décide de t’administrer un lavement à l’eau tiède. 1 litre devrait suffire. Je prépare donc la poche, la tubulure et la canule. J’enduis cette dernière de lubrifiant et la fiche dans ton anus. Tu l’accueilles sans un cri. Puis lentement je laisse couler le liquide. Je l’imagine doucher ton intimité. Tu commence à bouger un peu le bassin ne sachant pas trop combien de liquide vais-je laissé ainsi filer au plus profond de toi. Mais bientôt cela s’arrête et tu es accompagné jusqu’au toilette afin que tu libères tes boyaux.

Tu te réinstalles épaule contre le matelas, fesses cambrées du mieux que tu peux. Mon index ganté et lubrifié caresse ta corolle anale. J’en apprécie sa souplesse par petites pressions successives et graduelles. Une de mes phalanges vient de glisser dans ton pertuis. Un spasme réflexe bloque (peu de temps) la progression de mon doigt. Pas de problème ton ampoule rectale est saine et libre. Mais je vais m’en assurer par une anuscopie. Toujours dans la même position je glisse dans ton canal anal un anuscope. Son diamétre est un peu plus gros que mon doigt mais il disparaît vite dans tes entrailles. Je sais que tout à l’heure ma queue suivra le même chemin sans plus de difficulté…

 

Ton examen est terminé. Tu es Mathilde en parfait ordre de fonctionnement. Tes orifices sont prêts à tous les excès. Tu es là pour cela. Tu as choisi un maître, ton maître pour cela. Etre examiné, fouillé, explorée, soumise, baisée et satisfaire ton maître et tout ceux à qui en sa présence pourront t’utiliser. 
Par Maître Gilles - Communauté : soumise dévouée
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Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 01:10

Ce soir ma soumise Mathilde à droit à de la tendresse. Elle est parfaite dans sa progression et semble vouloir satisfaire sous maître en tout point. Nous avons fait un repas agréable dans un petit restaurant de Paris et après une promenade enlacée dans les rues de la capitale nous rejoignons notre chambre d’hôtel.

Après une douche je demande à Mathilde de s’allonger nue sur les draps du lit. Elle s’exécute pensant que de nouveaux jeux de soumissions vont lui être imposés mais son maître la recouvre d’un fin film d’huile sèche. Alors commence un massage léger et tendre des épaules et des omoplates puis du dos, des lombes. Mes mains se font caresses légères et sensuelles sur la peau de cette femme qui en peu de temps est devenue celle qui le fait rêver celle à qui il pense. Certes le maître la soumet mais il la respecte. Il apprécie qu’elle se donne pour lui et vit entre ses bras cette autre vie qui lui plait et dont elle rêvait. La pulpe des doigts du maître dessine les courbes, traque les nœuds de tensions musculaires et les délie. Soumise est au Ange. Elle soupire de délice à présent que son maître, son homme masse ses bras et ses jambes. Délassant chaque tendons, chaque centimètre carré de peau. Puis il s’occupe de ses mains et de ses pieds.

Il retourne sa belle sur le dos. Lui sourit, elle répond alors il l’enlace et lui donne un très doux baiser long et sensuel. Il enveloppe ses seins de ses mains, joue avec ses mamelons qu’il embrasse à leur tour. Puis sa langue descend lentement le long de son ventre, fait une halte ans son nombril. Puis glisse sur ses cuisses lisses qui peu à peu s’ouvrent. Je respire les effluves du sexe de mathilde. Il est frai, un léger parfait de chèvrefeuille. Rapidement ma langue, mes lèvres, ma bouche en prennent possession. Mathilde ondule sous la succion et la caresse. Se cambre lorsqu’un ou deux phalanges la pénètrent. Elle ruisselle dans la bouche de son maître et plaque son visage contre ce sexe insatiable.

Puis je remonte lentement sur elle, mes mains courent partout sur son corps et lentement je la pénètre. Mouvement ample et profond de mes hanches. Mathilde s’abandonne à la pénétration, au plaisir. Elle enlace mon bassin de ses cuisses, se plaque contre moi. Nous roulons l un sur l autre nos bouches s’épousent, s’embrasse, se dévore amoureusement. Mathilde joui contre moi et je m’abandonne en elle. Puis nous nous endormons tendrement enlacé, elle me tournant le dos, ses fesses plaquées contre mon ventre mes bras l’enserrent, une de mes mains caresse un sein, l’autre repose sur son pubis.

Je lui chuchote, bonne nuit ma soumise et elle se serre encore plus contre moi sans un mot.

Maître Gilles

Par Maître Gilles
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Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 23:44

Désir

 

Aujourd’hui je reçois des amis à mon domicile. Tu dois être pour ta part puni d’un refus d’obéissance. Ce soir tu seras donc soumise Mathilde à disposition de chacun.

J’ai invité Dominique et Nicole, couple sympathique dont madame bisexuelle adore les jeux coquins. Sylvie et Patrick eux aussi agréable et grand organisateurs de soirées toujours apprécié de leurs amis et j’espère qu’il seront satisfaits de leur accueil ce soir. Mitch et Arnaud deux étudiants de moins de 30 ans dot l’une des particularités est qu’ils sont d’origine ivoirienne et fort bien pourvus par dame nature. Il y a aussi Jacky la quarantaine patron de la salle de musculation du quartier.

Tu es arrivée une bonne heure à l’avance à ma demande afin que je puisse vérifier au préalable ton « parfait état d’utilisation ». Tu dois donc te déshabiller entièrement. Je te fais lentement tourné sur tout même, offrant chaque centimètre carré de ta peau au jugement de ton maître. Je vérifie que tes grandes lèvres soient parfaitement épilées. Je te fait pencher en avant et te demande d’écarter les deux globes de tes fesses afin de vérifier que ton périnée soit lui aussi parfaitement glabre. J’en profite pour apprécier l’ourlet foral de ton anus. Puis tu t’habilles enfin tu t’âpretes pour recevoir. Une paire de bas, attaché à une guêpière en cuir laissant libre tes seins ainsi que ton ventre et ta chatte. Une paire d’escarpins à talons hauts complète le tout. Tu t’étonnes de ne pas avoir de culotte. Je t’explique que cela fait partie de la punition tu acquiesces les joues rouges et baisses les yeux.

Les premiers invités arrivent, tous marquent un temps d’arrêt sur ta personne et ainsi que ton apparence. Je te présente « Mathilde, ma soumise qui ce soir sera là pour notre bien être ainsi que nos plaisirs » . Nicole, le sourire jusqu’au lèvres dis « parfait cela tombe bien j’ai envie de m’amuser et me détendre ce soir », et elle ponctue la fin de sa phrase par une petite claque sur ta fesse gauche. Tu trésailles sans broncher. Je précise aux filles comme aux garçons  que tous tes orifices sont là pour leur bien être. Au salon, tu nous sers des coupes de champagne et je remarque déjà les caresses que certains ne manquent pas de déposer sur tes hanches, tes fesses. On me complimente sur ton apparente soumission et la beauté de ton corps. Sylvie soupèse tes seins puis en pince les pointes pour juger de tes réactions. Un simple gémissement étouffé de ta part accueille la « caresse » .

Puis nous passons à table, une table en verre et dépourvue de nappe. Une fois le service fait je te demande de te couler à nos pieds et de faire en sorte que ce repas soit un ravissement pour chacun. Tu te précipites à 4 pattes vers ma braguette. Je te stoppe tout de suite te rappelant que les invités sont prioritaires et qu il est de la bienséance de commencer par les dames. Je te demande d’ailleurs tes lunettes afin que tu sois parfaitement à l’aise. Nicole en souriant nous lance « je veux bien être la première et puis je ne porte jamais de culotte ! ». et joignant le geste à la parole nous la regardons glisser ses fesses au bord de sa chaise et écarter les genoux. La toison de tes cheveux s’approche du compas de ces cuisses. Quelques mn après Nicole me félicite sur ta langue si douce et si efficace. Je devine que Jacky à dénudé son pied et j’imagine ses orteils en train de jouer avec les plis de ta chatte. Tu vas ainsi passer le repas affairé sous la table recouvrant les vits et les fentes de ta salive. Le repas est entrecoupé de quelques soupirs à peine étouffés alors que tu viens d’aspirer un gland turgescent ou un clitoris vermillon. Je te regarde au travers des sets de table et autre couvert. J’apprécie ton dévouement et imagine combien tes mâchoires seront endolories tout à l’heure. Mais bientôt l’heure du dessert sonne et tu es extraite de la table. Je te demande de t’allonger sur la table basse tu vas être notre coupe à déserts. Des parts de forêt noire couvrent ta poitrine, une griotte auprès de chacun de tes seins arrogant de désir. Un ruisseau de chantilly dévale ton ventre jusqu’aux plis de tes aines où ils rejoignent le triangle de tes cuisses transformé en corne d’abondance pour fruits frais en lamelles. Ne reste plus qu’a plonger ces fruits dans le torrents de chantilly, cueillir le chocolat badigeonnant ta poitrine et faire un festin de ton corps. Les invités saluent d’ailleurs ce désert si bien présenté !

    

 

Puis tu es autorisé à une douche pour te débarrasser des rares relief de reps qu’on laissé les convives. Leurs doigts, leurs lèvres et leurs langues ayant déjà fait la quasi-totalité du travail.

 

Lorsqu tu reviens tu n’est plus revêtue que de tes entraves et de ce collier que tu ne quittes pas. Tu vas continuer à nous servir et tu est prête à cela, n’espère que cela.

Tu es rapidement appuyé contre le dossier d’un fauteuil et l on t oblige à basculer ton torse sur le dossier de derrière on ne voit que tes belles fesses étalées, ton petit anus et le début de ta fente. Nous te demandons d’écarter les jambes. Mitch se déshabille aidé de Sylvie impressionnée par la grosseur de cette belle verge d’ébène. Elle se glisse à ses genoux et avale non sans difficulté le gland circoncis. Mais Mitch ne voit que ton cul et se dégage assez vite de la bouche gloutonne. Il enfile prestement un préservatif et se positionne derrière toi. Il promène son gland le long de ta raie et j’ai peur un instant qu’étant le premier à t’utiliser en profondeur il ne ruine tes possibilités pour la fin de soirée. Mais après avoir simplement appliqué » son gland sur ton anus il se ravise et se plante au fond de ta chatte. Un râle d’étonnement sort de ta gorge alors que la mantulle noire vient de percuter le fond de ton vagin. Il te saisi par les hanche pour mieux s’enfoncer, tes doigts se crispent sur le siége. Je t’imagine bien rempli de cette masse de chair chaude et dure. A présent il te pilonne plus qu’il ne te pénètre chacun de ses coups de rein projette le fauteuil et ton corps de quelques cm de plus au centre de la pièce. Je remarque cependant que le membre ressort d’entre tes cuisses luisant de mouille certifiant que tu y prends certainement beaucoup de plaisir. Dominique à sorti son sexe et te relève la tête en te tirant par les cheveux ; tu ouvres la bouche pour crier mais ce cri reste au fond de ta gorge poussé contre tes amygdales par la queue qui vient de s’y engouffrer. Les deux hommes te baise sans ménagement, frêle chose entre ses deux corps massifs. Celui du black musclé et souple et celui du prof de gym bodybuildé. Visiblement Dominique extrêmement excité par le spectacle que tu offres laisse partir sa semence. Tu hoquettes et recrache sa queue une fois que le premier jet à frappé ton arrière gorge. Ce recul fait que les autres giclées viennent s’écraser sur ton visage et ton cou. Tu toussotes mais ne recrache pas le sperme de ta bouche. Les mouvements de ton corps imposés par les coup de bite que Mitch continue à infligé à ta chatte font danser quelques filaments de sperme appendu à tes joues et à ton menton. Nicole détestant que tout cela soit perdu essai de lécher ton visage non sans difficulté du fait de Mitch qui explose à présent dans chatte avec des han ! de bûcheron.

 

Je te demande en te regardant dans les yeux si tu en veux plus ? Tu réponds sans hésité « OUI MAITRE J’EN VEUX ENCORE PLUS, BEAUCOUP PLUS ! », « JE SUIS VOTRE TRAINEE, LA PLUS SALOPE DES FEMMES POUR VOUS CE SOIR MAITRE ».

 

Je demande alors à Mitch  de s’allonger au sol. Puis tu es amenée par Sylvie et Nicole au dessus de sa queue toujours raide. Elles appuient sur ton cul jusqu’à ce qu’il soit à nouveau fiché en toi. Je prends alors un martinet et te flagelle les lombes et les fesses. Les mouvements de ton bassin à chacun de ses coups maintienne Mitch dans un état de parfait érection ce d autant qu il aspire avidement la pointe de tes seins, les mordillant aussi au passage. Puis Nicole s’empare de KY et commence à en étaler sur ton cul cuisant. Elle insiste de plus en plus sur ta rosette jusqu’à ce que je vois y disparaître une ou deux phalanges. Puis ce sont 4 puis 5 doigts fins qui travaille ton cul massant au travers de la paroi fine la queue de Mitch toujours fièrement dressée contre tes muqueuses. D’un hochement de tête, je fais signe à Arnaud que tu es prête Arnaud. Il s’approche alors à son tour, son sexe est différent de celui de son comparse, plus long effilé… taillé pour la sodo. Il te saisi par les hanches te fixe le bassin et d’un trait vient te fendre le cul en deux. Ton anus bien préparé l’absorbe sans soucis. Te voilà embroché par deux pieux sombres qui débutent une danse africaine des plus intimes dans tes entrailles. Dominique et moi s’approchons de toi et de tes lèvres tu as compris  et enfourne nos virilités sans plus attendre. Tu feulent, cris, gémis, … on te baise, te prends t’encule à tour de rôle comme la chienne que tu es. Jamais un de tes orifices ne doit rester vacant.

 

Le premier au bord de la jouissance le signale. Nous t’agenouillons alors tête rejetée en arrière. Tu attends nos plaisirs. Tu fermes les yeux afin de mieux ressentir les lourds paquets de sperme s’écraser sur tes joues, ton front, tes lèvres, glisser jusqu’à ta langue par tes lèvres entrouvertes, ton cou, tes seins. C’est un véritable masque de semence masculine que nous te faisons. Puis tu dois attendre de longues minutes ainsi immobiles sentant tout ce liquide séminal se liquéfier pour rouler jusqu’à tes hanches, tes cuisses, tes fesses. Tu es poisseuse, tu es heureuse.   

 

Maître Gilles

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM - Communauté : soumise dévouée
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 21:22
Je me suis baladée dans les forêts ardenaises. Près de la rivière ( la Semois), je me suis allongée sur un gros tapis de mousse. L'air embaumait l'épicéa. Je me suis assoupie par le clapotis de l'eau et les caresses des rayons du soleil sur ma peau et j'ai rêvé de vous... Vous me pousuivez en courant...Je fuis en hurlant... Vous me rattrapez...Je me débats mais vous parvenez à arracher mon chemisier, ...mon soutien,...à déchirer...ma jupe,...mon string. Essoufflée et nue, je vous regarde tremblante et ravie car je sais que vous allez me violer. Vous me plaquez contre un arbre à l'écorce rugueuse qui me meurtrit le dos. Avec un pied, vous m'écartez les jambes. Puis, sauvagement, vous glissez votre main sur les lèvres de mon sexe trempé. Vos doigts les écartent. A chaque fois, je sursaute.
Vous me retournez. Puis vous vous éloignez, vous dirigeant vers votre voiture décapotable pour enfiler un gant en cuir. J'aperçois que vous cueillez quelques orties. Je sais que vous allez me fouetter avant de me pénétrer. Un sifflement et les orties claquent...J'hurle...Mes fesses piquent, brûlent. Vous recommencez. je suis meurtrie de tous côtés: ventre, seins, fesses,...Les larmes coulent....de douleur, d'excitation.
Vous me prenez violemment par les hanches, me couchez sur le ventre sur un gros tronc d'arbre abattu, fesses bien relevées, tête sur le sol. Avec les deux mains, vous m'écartez les jambes et les fesses. Indécente, je me sens chienne. Soumise, je reste dans cette position. Vos doigts passent le long de ma raie humide pour remonter sur ma corolle.
Vous m'ordonnez de m'agenouiller face à vous.  Vous vous éloignez et vous me demandez de venir vous sucer. Comme une petite chienne, je rampe vers votre sexe que vous venez d'extirper de votre pantalon. A mesure que j'approche, j'aperçois qu'il commence à durcir, à se tendre. Vous me caressez la tête pour me récompenser...et je m'occupe de vous. Je prends votre sexe en main et je commence à le caresser dans un va-et-vient et en caressant vos testicules. Ma bouche s'approche , lèche, puis englouit votre gland. Je l'enduis de salive, de beaucoup de salive car je sais que vous aimez cela . Je continue à vous branler tout doucement en vous suçant. Vous prenez ma tête entre les mains et vous m'imposez votre rythme. Vous commencez à taper votre sexe au fond de ma gorge. Cela fait des buits humides que vous adorez. Epuisée, vous me relevez. Je tends les mains dans lesquelles vous éjaculez. Je porte mes mains à la bouche et je lape votre semence jusqu'à la dernière goutte... Je sais que vous êtes content de votre petite chienne et pour me récompenser, vous me demandez de me retourner. Deux de vos copains se trouvent derrière moi, ont regardé toute la scène. Excités, le sexe déjà dressé, ils sont prêts à me...
 
Votre soumise Mathilde
Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
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