histoire de SM

Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 00:37

L’essayage

 

Aujourd’hui sera pour toi Soumise Mathilde une nouvelle expérience. Tu n’en sais rien ce qui rend la chose encore plus excitante. Je t’ai proposé de faire les boutiques dijonnaises. Ce que tu as accepté sans hésitation car tu aimes passé du temps au bras de ton maître. Mais ce que tu ne sais pas c’est que l’un des boutiquiers et un amis libertin et nous avons échafaudé ensemble un plan dont tu risques de te souvenir.

 

Nous entrons dans sa boutique après avoir longuement flâné. Quelques modèles attirent ton œil en particulier ceux à talons hauts. Nous entrons et sommes reçu par cet homme d’une quarantaine d’années au physique agréable. Tu sélectionnes plusieurs modèles, et il t’invite à passer dans la pièce adjacente pour les essayer.  Tes jambes sont gainé de bas attachés à un porte jartelles violet , tu porte un bustier léger qui laisse apercevoir la dentelle de ton soutien gorges.

Tu enfiles la première paire. Je suis assis en face de toi de profil par apport au miroir. Je fais celui qui ne vois pas que l’homme s’attarde sur tes chevilles et remonte lentement une de ses mains le long de tes mollets. La caresse est fugace et tu ne sais pas trop quoi en penser. Puis tu enfiles une seconde paire (des escarpins rouge sang aux talons vertigineux). Tu restes debout pour ce nouvel essai. Cette fois ci tu n’as plus de doute cet homme qui complimente ton maître sur la finesse des jambes de sa femme te caresse. Sa main à présent remonte vers tes cuisses et tu as un mouvement pour rabattre ta jupe ce d’autant qu’un autre homme vient de rentrer dans la pièce. En costume, il dit bonjour et fait mine de chercher un modèle à sa convenance. Mais visiblement il a déjà remarqué les mains de mon ami qui caresse tes jambes de façon légère mais évidente. Je lui réponds que je suis en effet très satisfait de la plastique de ma femme et que tu adore les essayages. La troisième paire de chaussures n’est pas de mon goût et je demande à l’autre homme de me donner son avis. Il me dit il faudrait la voir marcher avec ! évidemment il faut te voir bouger avec. Je te demande alors de faire quelques pas de tourner sur toi même, puis de t’asseoir et enfin de lentement croiser et décroiser tes jambes ce qui a pour effet de laisser apercevoir un bout de l’étoffe de ton string. Ils t’aident à te relever pour enfiler une paire de cuissardes en cuir que tu n’avais pas sélectionné mais qui plaisent visiblement à ses messieurs. Tu me regardes… je laisse faire. Te voilà botté de cuir jusqu’au dessus du genou. Un autre homme vient de rentrer. Il demande s’il peut rester ce à quoi je réponds bien sur. Tout le monde est là pour essayer. Le plus grand des hommes qui prend du recul trouve que ces bottes ne vont pas avec ta jupe. Alors deux des compères entreprennent de lentement remonté le tissu jusqu’à ce qu’apparaisse la peau de tes cuisses. L’un d’eux à refermé une main sur ta fesse droite prend visiblement beaucoup de plaisir à ce contact. Tu as l’air d’un petit moineau tombé du nid, tes bras le long du corps essayant doucement de repousser les mains qui se font plus inquisitrices. Je devine même que parfois elle écarte le tissu et cherche ta fente, probablement déjà détrempée. Cela semble exciter encore plus les males présent. Je constate que l’un d’eux frotte la proéminence que fait son sexe sous le tissu de son pantalon au dos de ta main. Je te demande d’un air détaché ce que tu en penses. Tu bredouilles « quoi les bottes ? elles sont bien ! ». je te demande si tu veux en essayer plus d’un voix blanche tu dis « je ne sais pas trop là tout de suite ». Tu ne sais pas que nous sommes entré peu avant la fermeture habituelle du magasin, que sa devanture est fermé et que tous les hommes présent sont complices. L’homme qui se tenait un peu en retrait demande s’il peu essayé aussi. Je lui dit « oui pas de problème, elle est faite pour être essayé ». Tu comprends alors que tu n’as pas d’autre échappatoire que la soumission. L’homme te fait face, prestement il dégrafe sa braguette et sort une belle verge tendue. Les homme qui t’encadrent appui fermement sur tes épaules. Tu tombes à genou face à ce sexe. Patrick me demande alors « : comment s’appelle cette belle Bourgeoise ? ». Je réponds « Mathilde et c’est une bourgeoise qui aime vider les couilles ». « C’est ce que nous allons voir » dit il tout en s’approchant de tes lèvres carminées. Sans hésité car probablement très excitée tu ouvres en grand la bouche et avale littéralement son sexe. Je te reconnais là, toujours prête à satisfaire ton maître et ses amis. Tu entreprends une pipe des plus vigoureuse et la verge vient parfois jusqu’à disparaître totalement au fond de ton gosier. Les deux autres hommes ont saisi tes mains qu’ils ont posé sur leur sexe tout aussi tendu que celui que tu as en bouche. Je t’admire ma belle Mathilde. Une bite dans chaque main et une troisième qui explore tes amygdales. Les mains des hommes ne restent pas inactives et te voilà bientôt les seins à l’air, tétons pincés et les fesses non moins exposées aux doigts fureteurs. Je me joins au trio masculin, huit main parcours ton corps, quatre bites palpitent devant toi. Assez vite tu te trouves en levrette chevauchant Patrick qui pousse sa queue le plus loin qu’il peut au fond de ton vagin, a présent tu suces Marc et Dominique avec visiblement délectation alternant les queues dans ta bouche. Je me déshabille entièrement puis m’étant assuré d’un doigt puis deux de la souplesse de ta rosette épilée, je plante mon membre dans ton cul. Te voilà prise de toute part. et tu sembles aimer cela. Pendant plus d’une heure nous allons alterner nos positions dans tes orifices. Tu auras même droit à un essai de double vaginale de Patrick et Dominique mais pour cette fois sans succès ; Au moment où Patrick nous fait part du fait qu’il va exploser. Tu t’exclame « attendez, je veux vos liqueurs sur mon visage et dans ma bouche. Tu as juste le temps de finir ta phrase avant de recevoir le premier jet crémeux de Patrick dans le cou. Tu ajustes ton visage afin de recevoir le second sur la joue droite puis tu gobes son gland et semble doucement l’aspirer.  Je t’interdit d’avaler ! Mais te demande une fois que tu as laissé le sexe en cours de détumescence quitter ta bouche de recracher très lentement ce sperme de ta bouche le faisant ainsi rouler sur tes lèvres, ton menton puis ton cou et ta poitrine. Moi et les deux autre hommes nous approchons à notre tour de ton visage rayonnant de bonheur. Ton sourire est vite barré par une grosse décharge de Dominique suivie de quelques autres moins importante qui se perdent sur ton menton et ta joue gauche. Ton maître joui de concert avec Marc et cette fois tout ton visage est baigné de sperme. Ta bouche ouverte essai dans attraper le maximum mais tu as ordre de recracher au fur et à mesure de façon à que toute ta poitrine soit recouverte du liquide nourricier. Nous reculons alors et je te demande de te masturber devant nous. Je prends plusieurs clichés de cette femme que tu es lorsque tu viens vivre des instants interdits avec ton maître. Une femme sans préjugée, sans tabou, sans barrière, une femme avide de plaisir et de soumission. Tu es encore plus belle ce sperme sur ton visage qui descend lentement jusqu’à ton ventre, puis ton pubis et ton sexe. Au bout de quelques minutes, le liquide a atteint ton intimité et tu te masturbes avec nos spermes mêlés. Le clapotis est obscène et je crois que c’est ce qui te fait jouir plus vite qu’à l’accoutumé.

 

Maître G

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 01:12

Copie de DSC 0006L’homme en face de toi est monstrueux, il doit mesurer presque 2 m et peser environ 140 kg Sa musculature est saillante, puissante, bestiale. Tu es là ma Soumise Mathilde, nue, frêle, presque fragile en face de lui. Tu ne portes que ton collier et sa laisse qui oscille entre tes seins. Tu n’as pourtant pas l’air effrayé, ton maître est là pour t’observer et te protéger.

 

Il fait à présent le tour de la pièce. Une pièce d’un donjon sans fenêtre, juste la porte et l’escalier par lequel tu viens d’arriver. Pas de chaise mais une simple commode et un matelas jeté par terre. Toi tu es à même le sol. Il saisi ta laisse et la tire vers le haut. Aussitôt tu te retrouves à genou. Les fesses posées sur tes pieds. La « bête » te fait face. Tu attends regard baissé.  Il prend tes cheveux dans ses mains et tire ta tête vers le haut, il renifle ton odeur y recherchant une peur quelconque mais tu restes impassible et retombes sur tes jambes une fois qu il te lâche.

 

C’est le jardinier du château et il sait que pendant une heure il t’a à sa complète disposition. Tu ne dois rien lui refuser et tu l’as accepté.  Visiblement il ne souhaite pas disposer de toi pour l’aider à tailler les rosiers. Il te fait face à nouveau et plus qu’il ne te le demande il grogne que tu viennes le sucer. Tu t’avances alors à genou vers son bleu de travail. Tu d’empêtres dans sa ceinture sa braguette et ton doigt tremblant ne parviennent pas à faire sortir le chibre. Il te repousse alors violemment d’un revers de main. Tu roules sur le sol jambe largement ouverte. La vision semble booster notre gaillard qui descend son pantalon qu’il porte sans culotte. Je vois tes yeux s’agrandir et je comprends  pourquoi lorsque l homme avance dans la clarté. Son sexe est à son image monstrueux. Le gland est effilé et s’élargi rapidement en corolle comme la tête d’un cèpe. Et il est fiché sur un membre massif certainement plus épais que ton poignet. Il est parcouru de grosse veine pourpre qu’ils me semblent voir battre. Cette fois je devine de l’inquiétude sur ton visage. Il te soulève par l’épaule et te cri « bouffe moi femelle ! ». Ton visage n’est plus qu’à qq cm de cet obélisque de chair. Ta main qui l’empoigne semble menue et ne parvient pas à en faire le tour. Tu sembles tétanisé. Il hurle cette fois « tu vas me bouffer sale chienne ? ». Alors je devine la pointe de ta langue qui sort et vient se poser sur le somment du gland. J’imagine l’odeur acre de ce sexe qui envahi tes narines et bientôt ta bouche. Ta langue glisse sur toute la surface du gland qui se met à luire. Tu le masturbe à présent à deux mains de façon vigoureuse dans l’espoir qui semble vain de le faire jouir au plus vite. Ta langue humidifie à présent la hampe. Le sexe tendu palpite contre ta joue. L’homme t’arrête alors, te prends la tête à deux mains et présente son gland à tes lèvres. Tu n’as d’autres choix que t’ouvrir ces dernières. Peu à peu ta bouche se déforme sous la poussée et tu absorbes ce gland cramoisi.  Il n’en rentrera pas plus mais l’homme semble satisfait et te baise à présent la bouche. De la salive coule sur ton menton puis sur tes seins. Après quelques minutes de baise buccale l’homme sort son membre de sa bouche. Il a encore pris du volume sous ta caresse. Il te soulève du sol, te plaque contre lui. Son sexe palpite entre tes cuisses ouvertes de part et d’autre de ses flancs. Puis il applique la tête de son sexe contre ta vulve détrempé malgré tout car tu es vraiment une belle chienne. Puis il te relâche peu à peu et ce membre t’empale plus qu’il ne te pénètre. Mais sa progression se fait sans accoup presque en douceur. Tu laisse tomber ta tête sur le torse du monstre et un long gémissement s’échappe de ta gorge. Jamais tu n’avais été empli ainsi.  Puis il entame une danse de l’amour avec toi fiché sur ce pieu qui t’ouvre. Il se promène dans la pièce avec ton corps emmanché. Te faisant monter et descendre sur ce pieu au rythme de ses hanches et de son désir de te baiser. Puis il te dépose à plat ventre sur un tonneau. Son sexe dressé contre son abdomen est luisant de tes secrétions. Il prend sa ceinture et commence alors à te fouetter les fesses. Tu tréssautes à chaque coup mais semble tendre ton cul vers le cuir. Oui c’est à peine perceptible mais tu ondules offrant t a croupe à ton bourreau. Tu frotte ton clitoris contre le bois du tonneau pour encore plus de plaisir. Et sur un coup plus prononcé que les autres tu laisses échapper le feulement de ta jouissance mordant le dos de ta main. Tu es là obscène et pantelante lorsque « la bête » qui n’a rien perdu de sa vigueur se rapproche de toi. Il écarte alors tes fesses et crache sur ton anus. Tu n’as plus assez de force pour te plaindre d’une telle atteinte à ta dignité. Ton anus en corolle baigne dans ton jus et la salive de l’ogre des Ardennes. J’assiste alors à une chose incroyable ton anus si délicat vient épouser le gland du monstre. Et tu lui dis alors quelques chose dont je t’aurai jamais cru capable «  Salaud elle te fait bander la femme du monde alors encule-la ! Je suis une traînée, je suis soumise Mathilde et je veux que tu me défonce le cul de ta grosse bite ! » Ta parole est coupée par un han de bûcheron et un cri rauque de bête aux abois. La moitié de sa verge vient de s’enfoncer en toi. Plus un pli sur ton anus. Il n’est que chair distendue. Puis l homme devient comme fou et se met à pilonner ton cul de coups de rein violents. Je me rapproche pour mieux voir. A présent tu as absorbé tout le membre et les couilles elles aussi énormes frappent tes fesses rougies par la ceinture. Cela dure t’interminables minutes où ton corps est ballotté par les coups de queue. Puis l’homme se raidi et pousse un hurlement inhumain. Il jouit comme un ours dans tes entrailles en feu. Puis sort son vit de ton cul qui reste ouvert laissant échappé des flots de sperme qui coulent sur tes cuisses. L’homme fait alors le tour du tonneau t’attrape par les cheveux et enfourne son sexe gluant dans ta bouche. « nettoie ma salope, j’ai du travail qui m’attends ! ». En parfaite soumise tu rends le sexe luisant comme un sou neuf.  Il part après avoir remis son pantalon de travail et tu viens te réfugier dans mes bras pour que je te câline. Ma soumise Mathilde a été une fois de plus parfaite.

 

Maître G

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 01:41

Suite par MG…

 

J’ai pris un peu de recul pour mieux t’observer en chienne lubrique qui a perdu tous ses codes et repères habituels. Tu ne veux qu’être une chienne offerte. J’imagine dans ta bouche le goût de ces spermes mêlés. Tu es assise sur tes jambes repliées. Ton chemisier est ouvert jusqu’à ta taille, ta jupe a elle aussi rejoint ta taille et ne reste qu’un lambeau de string qui te fait comme une jarretière écarlate à la cuisse gauche. En me rapprochant je distingue nettement de larges taches sombres sur le tissu gris de la veste de ton tailleur. Ces dernières répondent à celles plus claires qui constellent ton visage et ta poitrine. Je me rapproche plus et sort ma queue tendue à l’extrême par ce spectacle. Je me masturbe à mon tour sur ce visage de belle salope. Tu es ma soumise, ma Mathilde. Je cris salope prends en expulsant ma semence le premier jet frappe ton cou mais le second atteint tes lèvres que tu entrouvrent afin de boire le liquide chaud de ton maître. Tu déglutis lentement ce nectar masculin. Tu souri satisfaite du plaisir que tu viens de donner à ton maître en te laissant ainsi utiliser.

 

A peine rentré à la chambre d’hôtel et alors que tu souhaites prendre une douche pour retirer de ta peau le sperme séché. Je te permet de te dévêtir entièrement mais te demande alors de t’accroupir à quatre pattes. Puis sans quitter mon pantalon, je sorts ma queue déjà tendue par le spectacle que tu as offert et par celui que tu offres. Je te demande de cambrer et comme tu es un peu lente je me mets à te fesser. Tes chairs culières sont déjà rouges lorsque je plonge dans ton anus. Je fait coulisser d abord lentement puis de plus en lus vite mais toujours sur toute sa longueur la hampe de mon sexe dans ton boyau étroit. Tu gémis. Je t’oblige à me dire des choses ordurières qui te décrivent. « Oui Maître je suis votre chienne », « j’aime quand vous me prenez ainsi le cul », « Punissez moi Maître je ne suis pas encore assez Salope pour vous », « je ne suis qu’une pute soumise », « je suis votre pute soumise », « j’aime manger des queues et qu’elles dégorgent leur jus sur mon visage et dans ma bouche », « Baisez moi, enculez moi, je suis votre chose lubrique »…  Dans un râle je viens de remplir le cul de ma chienne Mathilde.

 

MG.
Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 27 juillet 1 27 /07 /Juil 23:44

Désir

 

Aujourd’hui je reçois des amis à mon domicile. Tu dois être pour ta part puni d’un refus d’obéissance. Ce soir tu seras donc soumise Mathilde à disposition de chacun.

J’ai invité Dominique et Nicole, couple sympathique dont madame bisexuelle adore les jeux coquins. Sylvie et Patrick eux aussi agréable et grand organisateurs de soirées toujours apprécié de leurs amis et j’espère qu’il seront satisfaits de leur accueil ce soir. Mitch et Arnaud deux étudiants de moins de 30 ans dot l’une des particularités est qu’ils sont d’origine ivoirienne et fort bien pourvus par dame nature. Il y a aussi Jacky la quarantaine patron de la salle de musculation du quartier.

Tu es arrivée une bonne heure à l’avance à ma demande afin que je puisse vérifier au préalable ton « parfait état d’utilisation ». Tu dois donc te déshabiller entièrement. Je te fais lentement tourné sur tout même, offrant chaque centimètre carré de ta peau au jugement de ton maître. Je vérifie que tes grandes lèvres soient parfaitement épilées. Je te fait pencher en avant et te demande d’écarter les deux globes de tes fesses afin de vérifier que ton périnée soit lui aussi parfaitement glabre. J’en profite pour apprécier l’ourlet foral de ton anus. Puis tu t’habilles enfin tu t’âpretes pour recevoir. Une paire de bas, attaché à une guêpière en cuir laissant libre tes seins ainsi que ton ventre et ta chatte. Une paire d’escarpins à talons hauts complète le tout. Tu t’étonnes de ne pas avoir de culotte. Je t’explique que cela fait partie de la punition tu acquiesces les joues rouges et baisses les yeux.

Les premiers invités arrivent, tous marquent un temps d’arrêt sur ta personne et ainsi que ton apparence. Je te présente « Mathilde, ma soumise qui ce soir sera là pour notre bien être ainsi que nos plaisirs » . Nicole, le sourire jusqu’au lèvres dis « parfait cela tombe bien j’ai envie de m’amuser et me détendre ce soir », et elle ponctue la fin de sa phrase par une petite claque sur ta fesse gauche. Tu trésailles sans broncher. Je précise aux filles comme aux garçons  que tous tes orifices sont là pour leur bien être. Au salon, tu nous sers des coupes de champagne et je remarque déjà les caresses que certains ne manquent pas de déposer sur tes hanches, tes fesses. On me complimente sur ton apparente soumission et la beauté de ton corps. Sylvie soupèse tes seins puis en pince les pointes pour juger de tes réactions. Un simple gémissement étouffé de ta part accueille la « caresse » .

Puis nous passons à table, une table en verre et dépourvue de nappe. Une fois le service fait je te demande de te couler à nos pieds et de faire en sorte que ce repas soit un ravissement pour chacun. Tu te précipites à 4 pattes vers ma braguette. Je te stoppe tout de suite te rappelant que les invités sont prioritaires et qu il est de la bienséance de commencer par les dames. Je te demande d’ailleurs tes lunettes afin que tu sois parfaitement à l’aise. Nicole en souriant nous lance « je veux bien être la première et puis je ne porte jamais de culotte ! ». et joignant le geste à la parole nous la regardons glisser ses fesses au bord de sa chaise et écarter les genoux. La toison de tes cheveux s’approche du compas de ces cuisses. Quelques mn après Nicole me félicite sur ta langue si douce et si efficace. Je devine que Jacky à dénudé son pied et j’imagine ses orteils en train de jouer avec les plis de ta chatte. Tu vas ainsi passer le repas affairé sous la table recouvrant les vits et les fentes de ta salive. Le repas est entrecoupé de quelques soupirs à peine étouffés alors que tu viens d’aspirer un gland turgescent ou un clitoris vermillon. Je te regarde au travers des sets de table et autre couvert. J’apprécie ton dévouement et imagine combien tes mâchoires seront endolories tout à l’heure. Mais bientôt l’heure du dessert sonne et tu es extraite de la table. Je te demande de t’allonger sur la table basse tu vas être notre coupe à déserts. Des parts de forêt noire couvrent ta poitrine, une griotte auprès de chacun de tes seins arrogant de désir. Un ruisseau de chantilly dévale ton ventre jusqu’aux plis de tes aines où ils rejoignent le triangle de tes cuisses transformé en corne d’abondance pour fruits frais en lamelles. Ne reste plus qu’a plonger ces fruits dans le torrents de chantilly, cueillir le chocolat badigeonnant ta poitrine et faire un festin de ton corps. Les invités saluent d’ailleurs ce désert si bien présenté !

    

 

Puis tu es autorisé à une douche pour te débarrasser des rares relief de reps qu’on laissé les convives. Leurs doigts, leurs lèvres et leurs langues ayant déjà fait la quasi-totalité du travail.

 

Lorsqu tu reviens tu n’est plus revêtue que de tes entraves et de ce collier que tu ne quittes pas. Tu vas continuer à nous servir et tu est prête à cela, n’espère que cela.

Tu es rapidement appuyé contre le dossier d’un fauteuil et l on t oblige à basculer ton torse sur le dossier de derrière on ne voit que tes belles fesses étalées, ton petit anus et le début de ta fente. Nous te demandons d’écarter les jambes. Mitch se déshabille aidé de Sylvie impressionnée par la grosseur de cette belle verge d’ébène. Elle se glisse à ses genoux et avale non sans difficulté le gland circoncis. Mais Mitch ne voit que ton cul et se dégage assez vite de la bouche gloutonne. Il enfile prestement un préservatif et se positionne derrière toi. Il promène son gland le long de ta raie et j’ai peur un instant qu’étant le premier à t’utiliser en profondeur il ne ruine tes possibilités pour la fin de soirée. Mais après avoir simplement appliqué » son gland sur ton anus il se ravise et se plante au fond de ta chatte. Un râle d’étonnement sort de ta gorge alors que la mantulle noire vient de percuter le fond de ton vagin. Il te saisi par les hanche pour mieux s’enfoncer, tes doigts se crispent sur le siége. Je t’imagine bien rempli de cette masse de chair chaude et dure. A présent il te pilonne plus qu’il ne te pénètre chacun de ses coups de rein projette le fauteuil et ton corps de quelques cm de plus au centre de la pièce. Je remarque cependant que le membre ressort d’entre tes cuisses luisant de mouille certifiant que tu y prends certainement beaucoup de plaisir. Dominique à sorti son sexe et te relève la tête en te tirant par les cheveux ; tu ouvres la bouche pour crier mais ce cri reste au fond de ta gorge poussé contre tes amygdales par la queue qui vient de s’y engouffrer. Les deux hommes te baise sans ménagement, frêle chose entre ses deux corps massifs. Celui du black musclé et souple et celui du prof de gym bodybuildé. Visiblement Dominique extrêmement excité par le spectacle que tu offres laisse partir sa semence. Tu hoquettes et recrache sa queue une fois que le premier jet à frappé ton arrière gorge. Ce recul fait que les autres giclées viennent s’écraser sur ton visage et ton cou. Tu toussotes mais ne recrache pas le sperme de ta bouche. Les mouvements de ton corps imposés par les coup de bite que Mitch continue à infligé à ta chatte font danser quelques filaments de sperme appendu à tes joues et à ton menton. Nicole détestant que tout cela soit perdu essai de lécher ton visage non sans difficulté du fait de Mitch qui explose à présent dans chatte avec des han ! de bûcheron.

 

Je te demande en te regardant dans les yeux si tu en veux plus ? Tu réponds sans hésité « OUI MAITRE J’EN VEUX ENCORE PLUS, BEAUCOUP PLUS ! », « JE SUIS VOTRE TRAINEE, LA PLUS SALOPE DES FEMMES POUR VOUS CE SOIR MAITRE ».

 

Je demande alors à Mitch  de s’allonger au sol. Puis tu es amenée par Sylvie et Nicole au dessus de sa queue toujours raide. Elles appuient sur ton cul jusqu’à ce qu’il soit à nouveau fiché en toi. Je prends alors un martinet et te flagelle les lombes et les fesses. Les mouvements de ton bassin à chacun de ses coups maintienne Mitch dans un état de parfait érection ce d autant qu il aspire avidement la pointe de tes seins, les mordillant aussi au passage. Puis Nicole s’empare de KY et commence à en étaler sur ton cul cuisant. Elle insiste de plus en plus sur ta rosette jusqu’à ce que je vois y disparaître une ou deux phalanges. Puis ce sont 4 puis 5 doigts fins qui travaille ton cul massant au travers de la paroi fine la queue de Mitch toujours fièrement dressée contre tes muqueuses. D’un hochement de tête, je fais signe à Arnaud que tu es prête Arnaud. Il s’approche alors à son tour, son sexe est différent de celui de son comparse, plus long effilé… taillé pour la sodo. Il te saisi par les hanches te fixe le bassin et d’un trait vient te fendre le cul en deux. Ton anus bien préparé l’absorbe sans soucis. Te voilà embroché par deux pieux sombres qui débutent une danse africaine des plus intimes dans tes entrailles. Dominique et moi s’approchons de toi et de tes lèvres tu as compris  et enfourne nos virilités sans plus attendre. Tu feulent, cris, gémis, … on te baise, te prends t’encule à tour de rôle comme la chienne que tu es. Jamais un de tes orifices ne doit rester vacant.

 

Le premier au bord de la jouissance le signale. Nous t’agenouillons alors tête rejetée en arrière. Tu attends nos plaisirs. Tu fermes les yeux afin de mieux ressentir les lourds paquets de sperme s’écraser sur tes joues, ton front, tes lèvres, glisser jusqu’à ta langue par tes lèvres entrouvertes, ton cou, tes seins. C’est un véritable masque de semence masculine que nous te faisons. Puis tu dois attendre de longues minutes ainsi immobiles sentant tout ce liquide séminal se liquéfier pour rouler jusqu’à tes hanches, tes cuisses, tes fesses. Tu es poisseuse, tu es heureuse.   

 

Maître Gilles

Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM - Communauté : soumise dévouée
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 21:22
Je me suis baladée dans les forêts ardenaises. Près de la rivière ( la Semois), je me suis allongée sur un gros tapis de mousse. L'air embaumait l'épicéa. Je me suis assoupie par le clapotis de l'eau et les caresses des rayons du soleil sur ma peau et j'ai rêvé de vous... Vous me pousuivez en courant...Je fuis en hurlant... Vous me rattrapez...Je me débats mais vous parvenez à arracher mon chemisier, ...mon soutien,...à déchirer...ma jupe,...mon string. Essoufflée et nue, je vous regarde tremblante et ravie car je sais que vous allez me violer. Vous me plaquez contre un arbre à l'écorce rugueuse qui me meurtrit le dos. Avec un pied, vous m'écartez les jambes. Puis, sauvagement, vous glissez votre main sur les lèvres de mon sexe trempé. Vos doigts les écartent. A chaque fois, je sursaute.
Vous me retournez. Puis vous vous éloignez, vous dirigeant vers votre voiture décapotable pour enfiler un gant en cuir. J'aperçois que vous cueillez quelques orties. Je sais que vous allez me fouetter avant de me pénétrer. Un sifflement et les orties claquent...J'hurle...Mes fesses piquent, brûlent. Vous recommencez. je suis meurtrie de tous côtés: ventre, seins, fesses,...Les larmes coulent....de douleur, d'excitation.
Vous me prenez violemment par les hanches, me couchez sur le ventre sur un gros tronc d'arbre abattu, fesses bien relevées, tête sur le sol. Avec les deux mains, vous m'écartez les jambes et les fesses. Indécente, je me sens chienne. Soumise, je reste dans cette position. Vos doigts passent le long de ma raie humide pour remonter sur ma corolle.
Vous m'ordonnez de m'agenouiller face à vous.  Vous vous éloignez et vous me demandez de venir vous sucer. Comme une petite chienne, je rampe vers votre sexe que vous venez d'extirper de votre pantalon. A mesure que j'approche, j'aperçois qu'il commence à durcir, à se tendre. Vous me caressez la tête pour me récompenser...et je m'occupe de vous. Je prends votre sexe en main et je commence à le caresser dans un va-et-vient et en caressant vos testicules. Ma bouche s'approche , lèche, puis englouit votre gland. Je l'enduis de salive, de beaucoup de salive car je sais que vous aimez cela . Je continue à vous branler tout doucement en vous suçant. Vous prenez ma tête entre les mains et vous m'imposez votre rythme. Vous commencez à taper votre sexe au fond de ma gorge. Cela fait des buits humides que vous adorez. Epuisée, vous me relevez. Je tends les mains dans lesquelles vous éjaculez. Je porte mes mains à la bouche et je lape votre semence jusqu'à la dernière goutte... Je sais que vous êtes content de votre petite chienne et pour me récompenser, vous me demandez de me retourner. Deux de vos copains se trouvent derrière moi, ont regardé toute la scène. Excités, le sexe déjà dressé, ils sont prêts à me...
 
Votre soumise Mathilde
Par Maître Gilles - Publié dans : histoire de SM
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Présentation

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Profil de Soumise Mathilde

  • Maître Gilles
  • Le blog de SOUMISE MATHILDE
  • Homme
  • maître

Images Aléatoires

  • Pte quai 10 bis
  • Sx shop 9[1]

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus